martes, 11 de febrero de 2014

[...] Comme quelqu'un qui cherche en tenant une lampe,

loin des objets réels, loin du monde rieur,
Elle arrive à pas lents par une obscure rampe
jusqu'au fond désolé du gouffre intérieur;

"Et là, dans cette nuit qu'aucun rayon n'étoile,
l'âme, en un repli sombre où tout semble finir,
sent quelque chose encore palpiter sous un voile...
C'est toi qui dors dans l'ombre, ô sacré souvenir!"

Victor Hugo, Tristesse d'Olympio, recueil "Les Rayons et les Ombres"

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