loin des objets réels, loin du monde rieur,
Elle arrive à pas lents par une obscure rampe
jusqu'au fond désolé du gouffre intérieur;
"Et là, dans cette nuit qu'aucun rayon n'étoile,
l'âme, en un repli sombre où tout semble finir,
sent quelque chose encore palpiter sous un voile...
C'est toi qui dors dans l'ombre, ô sacré souvenir!"
Victor Hugo, Tristesse d'Olympio, recueil "Les Rayons et les Ombres"
No hay comentarios:
Publicar un comentario